Merci merci
Normalement il devrait fonctionner, je dois changer la pile et il manque le petit disque qui se visse sous l'appareil au niveau de l'axe de rotation de la pellicule mais ça ne gène en rien la rotation. J'achète une pelloche Kodak Tx début décembre et espère faire de jolis portraits.

Ayé, j'ai le mien   ;)


La dernière acquisition en date (reçu aujourd'hui)

Le Pentax ME Super (fabriqué entre 1979 et 1984) vendu avec le A-50mm f/1.7
J'ai fait, je pense, une bonne affaire: 75€ le tout, livré. (on a du mal à trouver ne serait-ce que l'objo à ce prix...)
Donc mon 50mm "A" est parti dans le sac pour aller sur le K5 et je lui ai collé mon 50mm "M" 1.7 au cul

Plus qu'à commander les pellosh' - Ilford HP5 ou Kodak TriX 400TX - je ne sais pas encore (mais ce sera du N&B c'est sûr !)
Et ensuite, trouver un bon plan pour les développer sur Toulouse (pour l'instant, je ne me vois pas les tirer moi-même...)

Je l'ai reçu avec sa housse en cuir originale  8-)

Super vos aquisition 

J'ai 2 ME super, que je n'ai jamais utilisé, un beau petit boitier, mais dans le genre, je préfère encore le Spotmatic 

Jolie ta boite à lumière !

Bel achat !

Si quelqu'un veut un P30n ! faites signe! Bon prix pas chère!  ;)

Citation de: lightbeam le 18 Nov 12 à 19:03
Merci merci
Normalement il devrait fonctionner, je dois changer la pile et il manque le petit disque qui se visse sous l'appareil au niveau de l'axe de rotation de la pellicule mais ça ne gène en rien la rotation. J'achète une pelloche Kodak Tx début décembre et espère faire de jolis portraits.

??? il sert à quoi ce disque ?
KODAK TX, tu es sur ? je connais la PLUS-X et la TRI-X mais la TX jamais entendu parler

Ah, les jeunes!!! C'est de ça que vous parlez:


retrouvé avec mon canon A1 de 1979, et jamais ouvert ;)
Je vais dépasser un peu la date limite

c'est de la Tmax 400 pas de la TX
très bonne pellicule pour son grain très fin pour une 400ASA
par contre beaucoup n'aiment pas son rendu tonal et lui
préfèrent de loin la Tri-X

A vrai dire, je ne connais pas la TX, et j'utilisais surtout de la HP5.
De mémoire, ça devait se développer au Rodinal...
Quand je vous dis que vous allez me faire ressortir ma cuve Patterson!!

Ne les jette surtout pas denisbreizh, je suis certain qu'elles ont encore capables de sortir de très belles photos ces péloches!
Je viens de faire développer 4 films restés 37 ans dans leur boites ! et c'est tout bon!!!

La TX c'est la TriX ;)

@tizoo: belle acquisition! avec le A-50mm 1.7 le prix se justifie plus 

Pour ce qui est des références "argentique" du net mes deux préférences vont au forum 35mm compact et au site revélateur
La valeur sure de l'argentique à Toulouse c'est Prophot mais les prix sont PRO eux aussi google donne aussi les magasin PHOTON et PICTO ...

Et la solution de numériser en "HD" les pelloches ça change beaucoup à l'aspect des photos ? Parce que je n'ai personne pour donner un bain à mes pelloches par chez moi...

Pour info le Hors série N°14 de Réponses photo traite de l'argentique et notamment de cette pratique.

Perso, c'est ce que je fait car il est "simple" de développer ses peloches (une cuve, un thermomètre et quelques chimies) mais il est plus compliqué de les tirer sans un équipement plus "volumineux".
J'ai bien un agrandisseur valable mais il n'est jamais sorti de son carton  je me contente de scanner mes négas et d'imprimer une "planche contact" et quelques images de lectures.

ça peux donner ça en moyen format FP4+

ou encore ça en 35mm tri-X

et encore celle ci en Pentax k1000; agfa APX 100iso]


Je scan mes négas à 900 DPI - JPEG pour la lecture et "l'archivage numérique" et à 2400DPI-TIFF (maxi de mon scanner) pour les "traitements".

Très bon point pour Rastalaly pour avoir cité le site 35mmcompact qui est une référence en matière de qualité et de compétence pour tout ce qui concerne l'argentique. Il n'y a là que des passionnés et connaisseurs. Je suis souvent allé y faire un tour pour avoir des infos  matérielles et techniques.

Maintenant Tizoo n'hésite surtout pas à te lancer dans le développement du négatif toi-même. Pour Rastalaly deuxième bon point.
Une cuve Paterson, un thermomêtre, un flacon de Rodinal ou de HC-110, un de fixateur. Tout ça ne va pas chercher bien loin point de vue investissement.

Juste pour mettre l'eau à la bouche...Pour un Tri-x à 400 asa,,, on disait comme ça à l'époque....
dans du Rodinal à dilution 1+25 - 8" ou 1+50 - 11"....2 mn de rinçage puis 10mm de fixage...enfin 20mn de lavage...Et le plaisir suprême jouissif de découvrir les négatifs....Tu te prends pour un magicien...
Avec l'HC-110 je crois, de mémoire que c'était 9mm à 1+9...Faut vérifier chez les spécialistes de 35 compact.
Perso en 30 ans environ, je ne crois avoir jamais bousillé un négatif...Certes certains étaient mieux contrastés que d'autres, peut-être...mais, loupés, jamais...pas même le premier que je crois posséder encore dans un classeur...Et oui, ça! ça se conserve quasi éternellement...
Donc pas de risques et plaisir assuré.

Alors là c'est un tout autre langage que tu utilises pour moi 

Par contre, question de gros gros basique: "développement de négatif" = résultat sur papier ou pas ? 

non, c'est quand tu sorts le film pour le fixer. Après, tu le passes à l'agrandisseur pour le tirage papier.

en ce qui me concerne, j'ai tout ça qui est au sous-sol; mais je n'ai pas encore passé le pas. Un jour proche j'espère

NON ! Tu développes le film pour obtenir un négatif et ensuite tu fais des agrandissements du négatif sur papier, deux opérations différentes.
Tu peux aussi scanner le négatif et obtenir une "image" numérique

Citation de: Tizoo le 20 Nov 12 à 15:57
Alors là c'est un tout autre langage que tu utilises pour moi 

Par contre, question de gros gros basique: "développement de négatif" = résultat sur papier ou pas ? 

Bon je crois qu'il va falloir que tu te documentes un peu:

Le film (pellicule) possède une surface sensible à la lumière -comme ton capteur.

Cette sensibilité est "physico-chimique". la lumière "dégrade" les grains de nitrate d'argents et il se forme ce qu'on appelle une image latente. Tant que le film n'est pas développé, la surface reste sensible, il faut donc "révéler" et "fixer" cette image. Ce sont les deux actions majeures du développement.

TOUTES SES ACTIONS SE DÉROULENT DANS LE NOIR LE PLUS STRICT ET EN MILIEU HUMIDE (on ne ricane pas dans le fond)

1* l'action du révélateur:
Le produit va dégrader les grains d'argents qui n'ont pas été exposés à la lumière il se forme donc une image négative - les parties exposées sont denses et les parties non exposées sont claires.
Les révélateurs agissent d'abord sur les grains non exposés puis sur ceux qui l'ont été un peu, et ainsi de suite.
Si on laisse un film indéfiniment dans un révélateur, l'image sera complètement effacée car tout l'argent (exposé ou non) sera dissout.
Il faut donc stopper l'action du révélateur par ce qu'on appelle...

2*Un bain d'arrêt:
Il s'agit de la 2ème étape du développement en général une solution acide est suffisante (vinaigre cristal dilué).
A ce stade, l'image négative est formée mais elle est encore sensible à la lumière, il faut donc...

3*La Fixer:
C'est l'action du fixateur qui va bloquer les réactions chimique de la surface sensible et ainsi nous permettre de la manipuler à la lumière du jour.

Enfin, tous ces produits étant par nature chimique et "actifs" on termine le traitement par un rinçage abondant suivi d'un séchage "en atmosphère contrôlée" pour éviter les poussières qui étaient déjà une plaie du photographe avant l'invention des capteurs numériques...

A la fin de cette étape tu obtiens une bande d'images négatives de format 24x36mm (c'est ta carte mémoire pleine de RAW) qu'il va falloir transférer sur papier comme expliqué par chamcham....

Effectivement, dans le processus argentique comme viennent de le préciser justement Chamcham et Bbert et Rastalaly( que je viens de découvrir à l'instant ) on distingue deux phases que j'approfondis juste un peu

1- le développement du négatif, c'est celui que je décrivais plus haut et qui consiste à faire de la bobine de film que tu as mis au départ dans ton superbe appareil, ce que l'on appelle un négatif.
C'est en fait le procédé inversé des anciennes diapositives.

2 - C'est ensuite à partir de ce négatif que l'on tire ( d'où l'expression tirage papier ) les photos papiers mais pour cela, c'est une autre affaire bien plus encombrante que la vieille cuve paterson...  c'est une deuxième technique pour laquelle il faut un matériel bien plus important: un agrandisseur, des cuvettes, des pinces, des produits chimiques "différents" ( sinon ce serait trop simple ), un éclairage particulier, une pièce noire et surtout du papier photo ...qui devient de plus en plus cher...bref un labo photo ...et si l'on ne veut se faire fortement "réprimander fortement" par madame parce qu'on a squatté la salle de bain ou la cuisine pendant toute la soirée en y déployant une tonne de matos aux relents chimiques corrosifs...( y a du vécu dans ce je raconte... ) on a tout intérêt à émigrer dans sa cave.., ce qui a été longtemps mon cas...

Tu vois aussi pourquoi cette pratique a quasiment disparu aujourd'hui professionnellement car cela prend un temps "fou"...pour obtenir 36 bonnes photos en 24x30cm...On revient à l'age d'or de l'ARTisanat...De plus il y a beaucoup de déchets de papier, les produits vieillissent...
Avec photoshop rectifier un contraste et déboucher des ombres...c'est bisounours à coté..

Aujourd'hui, je me suis séparé ( pour deux francs quatre sous ...snif!snif!...) de tout le matériel de cette deuxième partie, informatique et numérique oblige...

Cependant je continue juste à développer de temps en temps des négatifs ( d'ailleurs j'en ai un qui m'attend dans mon MjuII ) que je scanne ensuite moi-même ou que je confie à un labo pour qu'il me le numérise sur CD.
C'est à cette partie que je pense qu'il vaut mieux t'intéresser pour approfondir ta pratique de l'argentique.

Pour le tirage, si tant est que tu y tienne quand même, le bon plan est de trouver un club photo amateur local, il en existe encore et là, on peut bénéficier à la fois des conseils des membres, du matériel mis à disposition ainsi que l'achat commun des produits, en plus du dynamisme collectif qui y règne la plupart du temps.
Woualou...un petit éclaircissement succinct sur le sujet.