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Questions techniques liées à la prise de vue Faune sauvage

Démarré par christiandre, 13 Sep 15 à 13:42

christiandre

Bonjour les pentaxiens  :-)

Petit retour d'expérience après 1 semaine passée en pleine nature dans les montagnes d'Ardèche (Mezenc), en toute objectivité et sans esprit polémique   ;)
Je suis parti avec dans ma besace, mon k-5IIs, un 21mm ltd, le tamron 17-50 et le DA*300 (+ trépied filtres etc)
Pour ce qui est de la faune sauvage, je dois dire que je reviens relativement déçu. Il y a de quoi faire, particulièrement avec des oiseaux de toute beauté, mais en général je me rends compte que le 300mm est trop court. Je découvre (oui, je suis un béotien  :P ) une notion de distance entre l'humain et l'animal "sauvage", ce que j'appellerai la distance d'effarouchement, en deçà de laquelle une grande majorité des animaux va se sentir menacée ou dérangée, et va prendre la fuite.
Je me suis en majeure partie du temps senti trop court avec un 300mm, que ce soit en billebaude ou en affût : bien souvent face à une distance acceptable pour en tirer un cliché exploitable par la suite - avec du crop -, le specimen prend la fuite parce qu'il vous détecte ou vous a vu arriver.
Je pense vraiment qu'il me manque 100mm de focale pour être à l'aise. Au minimum, pour avoir un résultat potable en croppant un peu en post traitement.

Je ne parle même pas de nombreuses occasions loupées avec le DA*300. Il m'est arrivé plusieurs fois que des oiseaux plus curieux - ou moins vigilants- que d'autres, viennent se poser sur une branche à quelques mètres de moi, restant statiques quelques secondes le temps de comprendre le danger et de prendre aussitôt la poudre d'escampette. Et à chaque fois, ce temps "de réflexion" du volatile est insuffisant pour que je puisse le clicher. Je braque (bague réglée sur "infini" pour aller + vite), et là encore : dzzz..dzzz..dzzz.... là, c'est bon, on y arrive - mince plus d'oiseau ! Je ne sais plus qui parlait de diesel à propos de cet objectif, mais pour le coup c'est à peu près ça.

Après, je ne mets pas en cause la qualité de l'optique, quand le cliché est bon ce n'est que du bonheur, au prix d'un bon croppage dans la majorité des cas.

Pour résumer, j'aimerai vraiment me consacrer à l'animalier, mais pour ça il va me falloir autre chose. Papa noël peut-être apportera un 150-450mm au pied du sapin, même si son encombrement me rebute un peu. En attendant d'y adjoindre en 2016 un éventuel nouveau APS-C Pentax (avec l'AF du futur FF ?), ou au pire... passer à la concurrence   :spamafote:  


[edit=(Gin.net) Ce fil de discussion a été séparé du fil original qui traitait plutôt de l'approche de la faune sauvage que du matériel][/edit]
   

m3zcal

tu peux également t'orienter vers des solutions d'affût, etc... la photographie animalière exige en premier lieu de la patience et discretion.
*** Ma Galerie photo (obsolète)  : Flickr *** Site web : www.dcphoto.com

Electro35

C'est une technique à part entière et la moindre erreur te fais perdre ton sujet!
Le bruit d'AF, tes mouvements, la lentille frontale qui brille, ton déodorant et j'en passe! tout est dans le package!
Quand à la distance, le 300 est le minimum syndical pour ce genre d'exercice! le crop passe beaucoup mieux avec la réserve de Mpix du K3  :spamafote:

On a tous l'espoir qu'ils ressortent les 400-600-800 comme cela existe chez d'autres! Leur prix nous découragera, mais c'est bon de rêver quand même.

christiandre

Effectivement, un k3 pourrait apporter un gain avec quelques millions de pixels en plus sous le pied

Ludovic

+1 avec m3zcal sur la patiente et discretion

La photo animalière requiert beaucoup de patiente avec un gros pourcentage d'échec. Il faut persévérer et observer.
De plus, il est très important d'y aller tôt ou tard. Personnellement, je me dis qu'il faut que je parte de chez moi quand il fait encore nuit, le temps de trouver un bon spot et de s'installer, le jour se lève. Je préfère l'affut à l'approche car j'aime que l'animal ne me repère pas  ;)

Pour toutes mes sorties photos animalières, j'ai pu observer des animaux mais souvent sans pouvoir les prendre en photos  :spamafote: c'est rageant.

Le 300 mm suffit largement, il faut faire la mise au point manuellement.

Avec ta super combinaison, tu te met sous un arbre en bordure de forêt et donnant sur un champ, à 7h du matin et c'est facile  :lol:

Bon courage pour la suite, on attend d'autre photo de ta sortie en Ardèche  :D

SPentaxQR

Voilà des vautours fauves repérés à la jumelle puis pris avec le DA300+convertisseur 1,4 à environ 800 mètres

Bon, ce n'est pas le top mais je trouve ça quand même pas mal exploitable.





Maintenant, si tu veux n'avoir que l'œil et le bec d'un piaf à 50 mètres, c'est sûr que ce n'est pas assez mais tu sais, aujourd'hui, on cherche plutôt à photographier la bestiole dans son environnement plutôt que de l'avoir en méga gros plan pour lui compter les puces dans les plumes ou les poils.   :spamafote:
Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal. [R. Sheckley]

christiandre

#6
Citation de: SPentaxQR le 13 Sep 15 à 15:04
Maintenant, si tu veux n'avoir que l'œil et le bec d'un piaf à 50 mètres, c'est sûr que ce n'est pas assez mais tu sais, aujourd'hui, on cherche plutôt à photographier la bestiole dans son environnement plutôt que de l'avoir en méga gros plan pour lui compter les puces dans les plumes ou les poils.   :spamafote:
... et pourtant, des commentaires ici de membres chevronnés, sur quelques-unes de mes prises, ont fait quelques fois état d'animaux (d'oiseaux en l'occurrence) perdus dans l'image et trop petits pour susciter un avis global positif.

Si l'animal est le sujet "primaire" de l'image dans un décor "secondaire" (sans pour autant être négligé), à mon sens il faut effectivement qu'il suscite un minimum d'intérêt et donc qu'il soit discernable, qu'on ait pas à faire un effort pour en deviner les traits, la posture, l'expression, les caractéristiques etc...

Si l'animal est évalué au premier coup d'oeil comme évident, sans pour autant en arriver à compter ses plumes, s'il n'oblige pas le lecteur à un effort de perception, alors c'est gagné, et encore plus quand l'environnement vient à le mettre en valeur (cerise sur le gâteau  :P).
Pour ça, je crois, de plus en plus, qu'il faut soit une patience de sioux et rester plusieurs heures en affût immobile (et encore...), soit faire de l'approche et pour le coup il me semble devoir passer par une focale plus longue, voire un objectif avec un range confortable (150-450  :-) ?) et qui plus est réactif car l'approche suppose de "lever" souvent de la bête à poils ou à plumes  :P

Ta photo de vautours, oui elle est "exploitable", mais n'en prends pas ombrage, le résultat n'est pas fabuleux : ça bruite, c'est terne, enfin bref, il n'est pas interdit d'imaginer qu'avec un matériel un chouïa plus abouti (sans aller chercher un D4S ou je ne sais quoi), pourquoi pas avec 100 ou 150mm de plus (sans le TC), ou sinon avec un capteur plus fourni en pixels, ton cliché aurait pu être excellent.

bbert

De l'approche avec un 150-450mm ?
Je ne crois pas non, ça te fait un matériel de 3 kilos hors trépied, 3,5kg avec un monopode, ce qui me semble être u minimum...

Intéroge-toi bien sur ta pratique :
Si tu veux plus gros, tu seras forcément en affut, car il faut un trépied, et si tu te déplace avec ton trépied, le temps de l'ouvrir, tout et tout, le zozios sera parti

Ensuite, deuxième agrument a ne pas négliger : tu parles tout le temps d'autofocus. Je crois que le max est F5,6 v sur le central uniquement. Sinon' t'es a 2,8 (ce qui explique aussi pourquoi a f4, l'af rame si tu fais autre que du collimateur central)

Si cela peut te rassurer, j'ai ma cousine qui est passionnée d'ornithologie, qui a un boiter a F8 sur le central, un super nikon 500f4 (juste 8000€, une broutille) et qui shoote malgré tout en manuel, car rien de plus rapide et précis qu'à la main ...

Ce que tu as ramené est très honorable. Si sur 500 prises, tu en tires 10 excellentes, alors tu as super bien trvailler. Reste plus qu'à bosser, bosser et bosser pour n'en faire plus que 200 pour 10, puis 100 pour 10. A 10% de réussite, tu seras déjà un excellent photographe.

Sinon, tu peux faire des stages photos, sur un w-e, avec des passionnés de la photo et d ela nature, en plus, on en connait qui sont passionnés par Pentax, donc ça peut te réconcilier avec ton matériel .
" Nos yeux, nos oreilles, notre odorat, notre goût diffèrent, créent autant de vérités qu'il y a d'hommes sur la terre " Guy de Maupassant

Gko

 :up1: fusion du fil ouvert par Christiandre avec le fil existant en lien avec le sujet.

bon Christiandre, quels sont tes sujets pour la faune sauvage ? Encore une fois cela dépend  ce que tu prends en photo. Pour les oiseaux, ton 300 peut être trop court sans affut avec nourrissage pour faire venir tes sujets préférés. Sinon, c'est largement jouable.

Pour les cervidés, les lièvres, ça le fait bien. Je me suis pas trouvé trop court pour les chevreuils, mais un bon repérage du terrain s'impose. une fois que tu as trouvé leurs coulées, si tu est bien placé, à bon vent, et un minimum camouflé du peux avoir des proximités très intéressantes.
j'avais pris une photo de chevreuil à environ 20 mètres, il est venu vers moi. J'étais allongé immobile dans une pâture et ce qui m'a trahi c'est le bruit du boitier et mes avants bras nus qui formaient un contraste clair avec les reste.

Pour les oiseaux, il ne faut pas bouger du tout, ils ont une excellente vue. Une plus longue focale peut être utile. Le plus près que j'ai fait c'était dans mon jardin à 3.5 mètres environ, planqué sous un filet de camouflage, et avec appâts (je nourris les piafs l'hiver, photo ou pas). Alors par contre c'est des matinées le cul au froid et faut pas être pressé. Mais quand on capte une belle attitude, on est récompensé.

Pour les autres mammifères (renard notamment, hermines...) une longue focale est un plus.

Une chose est sûre, il n'y aura pas un photographe animalier qui te dira qu'il a fait du résultat sans efforts, patience, et repérage. Quand j'ai commencé à m’intéresser au sujet, j'avais pas mal lu le blog "aube nature", je remets ici le lien : http://blog.aube-nature.com/articles/techniques/approche-des-animaux/

En billebaude, il ne faut pas oublier deux règles :

1. marcher contre le vent (le chevreuil te sent à 300 mètres)
2. ne pas marcher en continu. Le bruit de marche continu est le propre de l'homme. Dans la nature les animaux marchent, s'arrêtent, repartent...faites comme eux.



SPentaxQR

Citation de: christiandre le 13 Sep 15 à 16:26
Ta photo de vautours, oui elle est "exploitable", mais n'en prends pas ombrage, le résultat n'est pas fabuleux : ça bruite, c'est terne, enfin bref, il n'est pas interdit d'imaginer qu'avec un matériel un chouïa plus abouti (sans aller chercher un D4S ou je ne sais quoi), pourquoi pas avec 100 ou 150mm de plus (sans le TC), ou sinon avec un capteur plus fourni en pixels, ton cliché aurait pu être excellent.

Oui, elle est bruitée mais je n'ai pas non plus fait de post-traitement à ce niveau.
Mais un 500 ou 600 mm n'ouvrira pas mieux, voire moins bien et tu seras obligé de monter en iso  :spamafote:

C'est sombre mais je l'ai développé à l'arrache pour te montrer ce qu'un 300+TC pouvait faire


Et à mon avis, mon cliché n'est pas bon parce qu'on ne voit pas bien les vautours car ils se confondent avec l'environnement.
Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal. [R. Sheckley]

christiandre

Citation de: Gko le 13 Sep 15 à 17:17
bon Christiandre, quels sont tes sujets pour la faune sauvage ? Encore une fois cela dépend  ce que tu prends en photo. Pour les oiseaux, ton 300 peut être trop court sans affut avec nourrissage pour faire venir tes sujets préférés. Sinon, c'est largement jouable.
Pour l'instant, j'adore clicher les oiseaux, qu'ils soient en vol ou statiques. Chercher ensuite sur des bouquins ce que ça pouvait bien être découvrir l'espèce etc...
Pour illustrer, sur mon séjour j'ai amené de la bouffe achetée exprès pour piafs : résultat en une semaine pas un n'est venu, tout était intact, à croire qu'ils ont le bec fin dans les Boutières  :D

Du coup, billebaude avec points statiques et "planques" avec mes tenues ghillie. Mais même là, c'est extrêmement difficile de sortir un truc, je ne sais pas si vous connaissez le coin mais je devais être le premier humain que certains piafs voyaient de leur courte vie  :-), donc une méfiance naturelle, et l'obligation de les shooter de loin (avec résultats bof bof), ou en mouvement (encore plus bof bof s'ils n'ont pas la taille a minima d'une pintade  :P)

C'est un paramètre à prendre en compte aussi. Les moineaux de Marignane (où j'habite), si je jette quelques miettes de pains, ils vont se ruer dessus. Dans des endroits moins urbanisés, ils se paient ta tête à deux kilomètres de toi en prenant soin de ne pas s'approcher sauf quelques téméraires. Du coup sur dix piafs courageux qui vont daigner venir à portée d'objectif, si tu tournes déjà à 5% de déchets en temps normal sur de telles prises, ben statistiquement t'auras rien ou presque  :(


Gko

un rouge gorge au jardin en tout manuel (affut et graines) : https://flic.kr/p/dNav9o
un accenteur mouchet, mêmes conditions, au DA* : https://flic.kr/p/dZ3LvY
chevreuils en affut au 200mm full manuel avec un petit crop : https://flic.kr/p/ddf1bS
un petit lièvre en billebaude au 300mm : https://flic.kr/p/e2atyj

tu vois c'est jouable ! Le taux de déchets est pas si conséquent que cela contrairement à ce qui dit bbert, parceque une fois que tu est piqué au jeu de ne pas te faire repérer, tu déclenches avec parcimonie :D

'tain c'est malin maintenant j'ai envie de me reprendre un télé ! :suri:



edit : pour les passereaux sauvages, j'en avais dans mon jardin en seine maritime (20kms hors agglo en cambrousse), il faut leur laisser le temps de s'accoutumer aux postes d’appatage, en acceptant de mettre des graines tous les jours,que tu photographies ou non, pour qu'ils s'habituent à cet apport nouveau...et très important, ne pas arrêter net en hiver, ça ne se fait pas.

Gko

Citation de: christiandre le 13 Sep 15 à 17:43
Pour illustrer, sur mon séjour j'ai amené de la bouffe achetée exprès pour piafs : résultat en une semaine pas un n'est venu, tout était intact, à croire qu'ils ont le bec fin dans les Boutières  :D
ou alors ils avaient mieux à se mettre sous le bec à proximité. Si c'est en été les piafs mangent des baies et autres, tes graines ils s'en cognent....  :lol:

sylve

"Une photographie, c'est un arrêt du coeur d'une fraction de seconde."  Pierre Movila

bbert

Vu ce que tu décris, tu n'as pas d'autres choix que de repérer des lieux tels que clarière pour lieux de nourrissage, ou cours d'eau, et de faire de l'affut.
Tu repère une clarière, tu prends prends ta paires de jumelles (une bien lumineuse) tu repères les nids, tu les shootes. Tu repère en rentrant les espèces d'oiseaux, et tu connaîtra ainsi mieux leur comportement, et donc comment tu devras faire tes affûts.
Une fois parti sur de l'affut, tu peux te tourner aussi vers de la digiscopie, mais là, faut beaucoup d'heures dapprentissage. La digiscopie te permet d'allier l'observation pûre, sans photo, mais aussi des prises de vue. Par contre, il faut partir sur des mises au point à 8 m au minimum  :lol:
" Nos yeux, nos oreilles, notre odorat, notre goût diffèrent, créent autant de vérités qu'il y a d'hommes sur la terre " Guy de Maupassant

SPentaxQR

Les oiseaux font partie des rares animaux à voir le rouge et ont une vue très perçante, donc pas de couleurs vives.
Beaucoup sont actifs le matin de bonne heure.
Il faut souvent aller en repérage pour voir ce qu'il y a à observer et trouver le bon endroit où se mettre puis retourner un autre jour pour prendre des photos.

Et puis, il ne faut pas écouter AC/DC pour passer le temps  ;)
Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal. [R. Sheckley]

pierrot73210

Je confirme ce qu'ont dit les autres : un 300 c'est le minimum syndical en animalier, mais ça permet beaucoup de choses. L'affut est inévitable pour les plans rapprochés, après tout dépend des espèces...

Et personnellement j'aime de plus en plus garder l'animal dans son environnement (la bonne excuse aussi pour justifier de n'avoir pas pu m'approcher plus ! :P ) Alors comme tu dis parfois l'animal est perdu dans le décor, mais là c'est au photographe de trouver le bon décor (avec le risque de faire fuir la bestiole pendant ton déplacement). Et de toutes façons, c'est une règle de base en photo, que tu fasses du gros plan ou pas, ou même du portrait, de la nature morte ou autre : si ton arrière plan est pourri, tu as beau avoir une belle lumière, un beau sujet et tout, ton arrière plan pourri gâche la photo, et ta photo est pourrie...
Un petit exemple tout con de chamois vu de très loin au 300/4. J'en ai d'autres de plus près (mais pas des gros plans) avec un beau décor derrière, mais je les ai pas encore postées sur mon site. Elles finiront bien sur P1 un jour. ;)
"Je mets les pieds où je veux, et c'est souvent dans la gueule" Chuck Norris

bbert

T'as plus qu'à embarquer christiandre en stage pour le réconcilier avec son matériel  :D
" Nos yeux, nos oreilles, notre odorat, notre goût diffèrent, créent autant de vérités qu'il y a d'hommes sur la terre " Guy de Maupassant

gcgignac

Couplé avec le convertisseur HD-DA-1,4x-WR le DA*300 f/4 devient un 420 f/5.6 ce que j'utilise avec bonheur.
En outre celui-ci peut servir pour d'autres objectifs.

En terme d'investissement c'est moins onéreux qu'investir dans le 150-450 qui par ailleurs et quelles que soient ses qualités ne vaudra jamais une focale fixe.
Flash: Pentax AF 540 FGZ II + Pentax AF 540 FGZ  + AF 160 C

flickr - Instagram

christiandre

mouais.... je pense vraiment qu'il y a une perte de qualité/netteté avec le TC, je ne sais pas pourquoi mais ça me saute aux yeux sur 90% des clichés fait avec  :spamafote: